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L'Autre Rive du Bosphore
Date de parution : 17/10/2013
Éditeurs :
Belfond
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L'Autre Rive du Bosphore

Date de parution : 17/10/2013

Une histoire d’amour entre Orient et Occident, tandis que l’Empire ottoman agonise.
Dans la ville mythique de Constantinople occupée par les Alliés en 1918 se croisent une famille turque confrontée à la fin d’un monde, un aventurier allemand, des réfugiés russes flamboyants, un officier français à la dérive. Et, alors que la Turquie nouvelle émerge des cendres des splendeurs ottomanes, une jeune femme découvre le goût de l'indépendance et de la liberté.

Novembre 1918. Istanbul, la ville mythique, est soumise à l'occupation intraitable des Alliés, vainqueurs de la Grande Guerre. Sur les rives du Bosphore, entre Orient et Occident, des choix douloureux...

Novembre 1918. Istanbul, la ville mythique, est soumise à l'occupation intraitable des Alliés, vainqueurs de la Grande Guerre. Sur les rives du Bosphore, entre Orient et Occident, des choix douloureux s'imposent.
Leyla Hanım est la jeune épouse d'un secrétaire du sultan Mehmet VI. Sa belle-mère, une esclave circassienne affranchie du sérail...

Novembre 1918. Istanbul, la ville mythique, est soumise à l'occupation intraitable des Alliés, vainqueurs de la Grande Guerre. Sur les rives du Bosphore, entre Orient et Occident, des choix douloureux s'imposent.
Leyla Hanım est la jeune épouse d'un secrétaire du sultan Mehmet VI. Sa belle-mère, une esclave circassienne affranchie du sérail impérial, l'oblige à respecter les coutumes ancestrales. Mais, lorsque leur demeure est réquisitionnée par un officier français et sa famille, cette vie bien ordonnée vole en éclats. De son côté, le capitaine de frégate Louis Gardelle ne résiste pas aux sulfureuses tentations de la cité cosmopolite où affluent les Russes blancs fuyant la révolution bolchevique. Pour les Turcs qui se refusent à la désintégration de leur pays, l'heure est à la résistance. Encouragée par son frère, Leyla s'engage dans la lutte malgré sa peur de l'inconnu et la position de son mari. Sa rencontre avec Hans Kästner, un archéologue de Berlin fidèle au général Mustafa Kemal, bouleverse son existence. L'Anatolie des rebelles devient alors le décor d'un amour interdit.
À la lueur des révolutions et à l'aube d'un monde moderne, la Turquie nouvelle émerge des cendres ottomanes, tandis qu'une jeune femme découvre le goût parfois amer de l'indépendance et de la liberté.

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EAN : 9782714454829
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 416
Format : 154 x 240 mm
Belfond
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EAN : 9782714454829
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 416
Format : 154 x 240 mm

Ils en parlent

" Au final, on applaudira ce destin de femme émouvant, cette fresque romanesque, qui offre un plaisir sans cesse renouvelé."

Avantages

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Idl 26/12/2023
    Première rencontre pour moi avec la plume de Thérèsa Révay L’HISTOIRE 1918, la guerre se termine et les frontières se redessinent. Traversée par le Bosphore, Istanbul est déchirée entre Orient et Occident. Désormais aux mains des Alliés, la ville mythique devient plus que jamais un carrefour cosmopolite. Leyla, jeune épouse d'un secrétaire du sultan, élevée selon les coutumes ancestrales, assiste impuissante au démantèlement de l'Empire ottoman. Mais la résistance s'organise. En la rejoignant, Leyla va s'engager dans la plus belle et dangereuse des luttes : celle pour l'amour, l'indépendance et la liberté. MON RESSENTI Comme noté en introduction, il s’agissait pour moi de ma première rencontre avec la plume de Thérèsa Révay et je vous assure que ce n’est pas la dernière ! J’ai eu un gros coup de Coeur pour cette auteure. Tout ce que j’aime : une romance historique, une femme forte, Leyla, à laquelle je me suis rapidement attachée. Avec elle j’ai aimé, avec elle j’ai pleuré, avec elle j’ai espéré …
  • Witchblade 08/06/2023
    Challenge plumes féminines 2023 – n°5 Auteure complètement inconnue pour moi et découverte grâce à un audio gratuit d’Audible. La superbe couverture m’a intrigué par son dépaysement assuré, je n’ai même pas relu le résumé, m’évitant ainsi des spoils inutiles de l’éditeur. Nous découvrons ainsi Stanbul (Istanbul pour les uns et Constantinople pour les autres) à la fin de la 1ère guerre mondiale par le biais de plusieurs personnages aux cultures très différentes : Leila (ottomane), Rose (française) et son mari Louis, Oran (jeune frère de Leila)... Le choc des cultures est afférent, à croire que les Occidentaux se sont toujours crus plus intelligents que les autres sans avoir besoin de mettre en avant les différences de religion. D’après cette histoire, les Ottomans semblaient quand même beaucoup plus ouverts d’esprit que leurs envahisseurs. Les passages qui m’ont le plus intéressés concernaient l’après-guerre et la cohabitation plus ou moins acceptée entre les Stambouliotes et les Occidentaux (soldats comme leurs familles rapatriées). Les histoires d’amour ne sont pas ma tasse de thé, j’écoutais donc les passages concernés que d’une oreille. Moi qui n’était pas sûre d’arriver au bout de ce roman, j’ai fini par me laisser guider et envoûter par Leila et ses connaissances tout au long des presque 5 ans de cette histoire entre la grande Histoire et la vie de ces personnages. Amour, rire (assez peu) ou larmes se côtoient sur les rives du Bosphore ou en Anatolie sur les pas de personnages charismatiques. J’ai fini par m’attacher à certains, la fin m’a surprise par certains côtés. Mais en même temps, la vie n’était ni facile ni rose à cette période-là, il fallait beaucoup de courage pour arriver à continuer à vivre… C’est un empire dont on parle peu dans les livres d’écoliers… Pourtant, il est tout aussi important que certains du fait de sa culture et de ses racines. Un voyage au cœur de l’Histoire comme on en rencontre peu où les deux parties de la petite se mêlent et s’entremêlent sans fausse note. À la rencontre d’hommes et de femmes sous le poids des traditions. Mais sont-elles si lourdes que ça ? Les femmes étaient-elles vraiment assujetties à leur mari à cause des traditions et de leurs voiles ? Rien n’est moins sûr comme nous le démontre ce roman historique (à bien des égards). Comme vous l’aurez compris, ce roman a été une excellente découverte, voire même un quasi coup de cœur pour ce voyage dans l’Histoire en pays ottoman. Le style de l’auteure est vraiment très agréable et fluide malgré les sujets abordés. Je vous conseille donc très fortement de le découvrir et de le faire découvrir aux amateurs d’Histoire et de voyages au cœur des cultures. Pour ma part, il s’agit d’une nouvelle auteure à suivre. Sur ce, bonnes lectures à vous :-)Challenge plumes féminines 2023 – n°5 Auteure complètement inconnue pour moi et découverte grâce à un audio gratuit d’Audible. La superbe couverture m’a intrigué par son dépaysement assuré, je n’ai même pas relu le résumé, m’évitant ainsi des spoils inutiles de l’éditeur. Nous découvrons ainsi Stanbul (Istanbul pour les uns et Constantinople pour les autres) à la fin de la 1ère guerre mondiale par le biais de plusieurs personnages aux cultures très différentes : Leila (ottomane), Rose (française) et son mari Louis, Oran (jeune frère de Leila)... Le choc des cultures est afférent, à croire que les Occidentaux se sont toujours crus plus intelligents que les autres sans avoir besoin de mettre en avant les différences de religion. D’après cette histoire, les Ottomans semblaient quand même beaucoup plus ouverts d’esprit que leurs envahisseurs. Les passages qui m’ont le plus intéressés concernaient l’après-guerre et la cohabitation plus ou moins acceptée entre les Stambouliotes et les Occidentaux (soldats comme leurs familles rapatriées). Les histoires d’amour ne sont pas ma tasse de thé, j’écoutais donc les passages concernés que d’une oreille. Moi qui n’était pas sûre d’arriver au bout de ce roman, j’ai fini par me laisser guider et envoûter par Leila et ses connaissances tout...
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  • smeknassi 02/01/2023
    C’est un roman historique qui se déroule à partir de 1918 et qui vous fait voyager dans le temps sur le détroit d'Istanbul et relate la chute de l'Empire ottoman, la naissance de la nation turque sous la direction de Mustafa Kemal et le conflit gréco-turc. Avec des personnages si bien composés ainsi que des descriptions extraordinaires de la ville, de la maison, des sentiments, Theresa Revay raconte l’histoire de la rencontre de l'Orient et de l'Occident, de la lutte politique, de l’indépendance, du féminisme, de l’amour, de la trahison, du deuil et de l’espoir et aussi comment préserver la tradition, mais accepter les changements, aimer la famille, mais respecter sa liberté. C’est également un livre sur tous les sacrifices qu'une femme doit faire pour survivre aux difficultés que la vie lui lance. Je le recommande !
  • Patrijob 04/08/2022
    Je n'ai pas été totalement conquise par ce roman dont l'intrigue a pour cadre Istanbul, la merveilleuse. Sans doute le contexte y est-il pour beaucoup. Theresa Révay choisi en effet de nous relater la période chahutée d'après-guerre, de 1918 à 1922. Le konak de Selim Bey est réquisitionné par l'armée française pour y loger un de ses officiers. Afin de ne pas être obligé de quitter les lieux et de s'installer à demeure dans le yali d'été sur les rives du Bosphore, il laisse la jouissance du selamlik, le quartier des hommes, au commandant Gardelle et sa famille et s'installe avec les siens dans la haremlik, quartier des femmes sur lequel règne presqu'en sultane, sa mère Gulbahar. On assiste alors au long effondrement de l'empire ottoman et à l'occupation d'Istanbul par les puissances alliées. Leyla Hanim, jeune épouse de Selim Bey, s'engage dans la lutte contre l'occupant encouragée par son frère Orhan et malgré la position de son mari, secrétaire du sultan. C'est dans les montagnes d'Anatolie, siège de la résistance, qu'elle vivra intensément un amour alors considéré comme interdit. L'effondrement de l'empire n'est pas que politique ou géographique mais également culturel. Les coutumes ancestrales sont mises à mal par une influence grandissante de l'Occident et c'est tout une population qui se déchire. J'ai appris beaucoup sur les forces en présence pendant la Grande Guerre et les conséquences de l'armistice sur l'Orient. À tort ou à raison, je reste une fervente admiratrice des fastes du sultanat et même si je suis consciente que l'image qu'on se fait de la vie au harem est faussée, l'exotisme qui en émane continue à me faire rêver. Ce roman est donc un peu trop factuel pour mon esprit "Mille et une nuits" mais il peut intéresser les lecteurs et lectrices plus "terre-à-terre".Je n'ai pas été totalement conquise par ce roman dont l'intrigue a pour cadre Istanbul, la merveilleuse. Sans doute le contexte y est-il pour beaucoup. Theresa Révay choisi en effet de nous relater la période chahutée d'après-guerre, de 1918 à 1922. Le konak de Selim Bey est réquisitionné par l'armée française pour y loger un de ses officiers. Afin de ne pas être obligé de quitter les lieux et de s'installer à demeure dans le yali d'été sur les rives du Bosphore, il laisse la jouissance du selamlik, le quartier des hommes, au commandant Gardelle et sa famille et s'installe avec les siens dans la haremlik, quartier des femmes sur lequel règne presqu'en sultane, sa mère Gulbahar. On assiste alors au long effondrement de l'empire ottoman et à l'occupation d'Istanbul par les puissances alliées. Leyla Hanim, jeune épouse de Selim Bey, s'engage dans la lutte contre l'occupant encouragée par son frère Orhan et malgré la position de son mari, secrétaire du sultan. C'est dans les montagnes d'Anatolie, siège de la résistance, qu'elle vivra intensément un amour alors considéré comme interdit. L'effondrement de l'empire n'est pas que politique ou géographique mais également culturel. Les coutumes ancestrales sont mises à mal par une influence grandissante de l'Occident et c'est tout une...
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  • Pixie-Flore 19/07/2022
    Leyla vit à Istanbul avec son mari, ses deux enfants et sa belle-mère. Très traditionnelle, la famille va pourtant être confrontée aux bouleversements d'après guerre, notamment à l'occupation des Alliés et à la soif d'émancipation de Leyla. Ça partait plutôt bien mais j'avoue que cette lecture est finalement assez décevante. Le speech historique m'a plu mais passe en arrière plan face aux nombreuses intrigues amoureuses des uns et des autres qui ont considérablement ralenti ma lecture par manque d'intérêt. Beaucoup de répétitions, de langueur, de phrases superflues, de l'émancipation féminine qui passe forcément par la bonne volonté de ces messieurs... Leyla est un personnage prétendûment fort mais qui se révèle assez spectatrice de son destin sur beaucoup de plans. Son attitude et son histoire ont fini par m'ennuyer, voir m’agacer. C'est dommage car Thérésa Révay a une belle écriture et un joli vocabulaire.
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