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L'Aventuriste
Jérôme Schmidt (traduit par)
Date de parution : 11/01/2018
Éditeurs :
Belfond

L'Aventuriste

Jérôme Schmidt (traduit par)
Date de parution : 11/01/2018
Porté par un redoutable sens de l’observation et une écriture élégante, un premier roman vif qui nous emmène au cœur d’un des derniers champs de bataille modernes : l’entreprise. L’épopée piquante et douce-amère d’un de ces aventuristes, un homme à la croisée des chemins, coincé entre aspirations professionnelles, obligations familiales et envies d’ailleurs.
Henry Hurt, c’est vous, c’est moi. Le type normal, la trentaine, célibataire, petit propriétaire qui occupe un poste confortable dans une boîte d’informatique. Le collègue sympa qui paye le café,... Henry Hurt, c’est vous, c’est moi. Le type normal, la trentaine, célibataire, petit propriétaire qui occupe un poste confortable dans une boîte d’informatique. Le collègue sympa qui paye le café, rit aux bonnes blagues et flirte avec Jane du marketing. Le commercial discret mais efficace, pas le requin mais celui... Henry Hurt, c’est vous, c’est moi. Le type normal, la trentaine, célibataire, petit propriétaire qui occupe un poste confortable dans une boîte d’informatique. Le collègue sympa qui paye le café, rit aux bonnes blagues et flirte avec Jane du marketing. Le commercial discret mais efficace, pas le requin mais celui à qui on peut confier une mission en toute tranquillité.
Mais comme vous, comme moi, Henry doute parfois. Il se demande si sa vie entière doit tourner autour de son job. S’il doit continuer de courir après cette augmentation qu’on lui promet depuis trop longtemps. S’il a seulement un avenir avec Jane du marketing.
Et puis, comme vous, comme moi, Henry retourne parfois dans sa famille. Il voit son père qui décline, sa sœur qui a dû sacrifier sa carrière. Il observe cette ville où il a grandi et se demande s’il ne serait pas temps de tout envoyer valser…
Mais l’aventuriste est-il seulement un aventurier ?
 
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EAN : 9782714475725
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 352
Format : 140 x 225 mm
EAN : 9782714475725
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 352
Format : 140 x 225 mm

Ils en parlent

« Délicieusement drôle. Le doute de soi, les tirades philosophico-introspectives, font de chaque page un vrai bonheur. Une chronique délicatement ouvragée sur La Vie Telle Que Nous La Vivons. Je reste ébahie devant tant d’intelligence. »
Antonya Nelson, auteur de Funny Once

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • TheaBib 11/03/2018
    Henry, trentenaire, est responsable du service technique d'une importante boîte informatique. Désabusé, il s'interroge sur l'artificialité des rapports sociaux et de ses relations avec ses collègues. Voilà le pitch de départ, et je me réjouissais déjà de lire un roman bourré de cynisme et d'humour noir. Pourtant, force est de constater que le cynisme tombe vite à plat, quand on se rend compte que les doutes d'Henry tournent un peu en rond. Je n'ai pas réussi à m'attacher à ce personnage qui dénonce les rouages de son entreprise mais n'agit pas et continue docilement à toucher son gros chèque à la fin du mois. J'ai donc été un peu déçue par ce roman qui était prometteur mais au goût de "tout ça pour ça".
  • angelita.manchado 23/01/2018
    Avis L’Aventuriste de J. Bradford Hipps Henry est convoqué chez son patron et ami Keith, nommé directeur général il y a peu. Ce dernier lui annonce une promotion. Il a 34 ans. Il aime l’argent et le confort apporté par celui-ci. Il vit seul. Résumé L’Aventuriste de J. Bradford Hipps Les deux mots qui me viennent à l’esprit avec L’Aventuriste, sont Aventurier et Futuriste. Mais va-t-on trouver dans ce roman un homme aventurier et futuriste , Peut-être le second car le Henry est un ingénieur qui conçoit des logiciels de sécurité pour les entreprises. Donc, il imagine, conçoit des codes. Comment rendre un roman pas si banal que ça avec un homme banal dans une entreprise banale, dans une vie banale, dans une société banale ? Mais est-ce qu’une vie est banale quand c’est la nôtre ? Peut-être aux yeux des autres. Mais à nos propres yeux ? C’est grâce à l’auteur et à ce premier roman somme toute réussi. On pourrait s’ennuyer. Cela arrive un petit peu tout de même. Mais on suit la vie de cet homme, de ses collègues et de sa famille. L’auteur nous détaille avec force détails l’entreprise américaine, comment vivent les employés, les stratégies de management et surtout la peur des uns et des autres de perdre leur emploi, de se retrouver sans rien car les objectifs donnés risquent de ne pas être atteints. C’est de la survie de l’entreprise dont il est question et bien entendu, lorsqu’une personne ne fait pas le job attendu, elle est virée. Henry, bien qu’il occupe une position de responsable, suit le mouvement. Il donne très peu son avis sur les stratégies menées, il se veut l’employé modèle, il ne dit pas tout ce qu’il pense. Il écoute beaucoup. Les relations professionnelles peuvent être difficiles entre collaborateurs car le marché va mal. Il y a toujours cette quête de réussite des Américains. Il faut écouter ses équipes, les rebooster, connaître leurs peurs. Ca c’est un vrai management d’équipes. Je ne sais pas si les Etats-Unis savent y faire à ce sujet mais c’est ce que le roman tente de démontrer. Mais il est indispensable de prendre les décisions adéquates pour le bien de l’entreprise. Je dirai que le héros est à la croisée des chemins. On sent un ras le bol. Sa mère est morte il y a un an. Son père ne va pas forcément bien. Vu qu’il n’est pas toujours là, il s’en rend compte au fur et à mesure, au contraire de sa soeur Gretchen. La mort de leur mère a été vraiment difficile à appréhender pour eux. Les souvenirs sont toujours aussi présents et l’absence également. Comme dans toute famille, il y a des hauts, des bas, des non-dits pour éviter que la cellule familiale ne vole en éclat. Une relation quasiment fusionnelle entre le frère et la soeur peut, à cause de la vie, de certaines prises de décision, basculer du côté non voulu. Pourtant, je les ai sentis toujours proches même s’ils n’arrivent plus à communiquer comme ils le devraient ou le pourraient. Tous les deux marchent sur des oeufs. Pourtant Henry se sent comme un étranger dans cette maison familiale. Il lui est difficile de passer d’une vie frénétique à une vie familiale où on est en visite, où l’on éprouve de l’ennui. Personnellement, je le sens étranger à tout. Il n’est plus à sa place nulle part. Il faut qu’il prenne une dé978-2714475725cision pour lui, pour bien vivre sa vie, même s’il aime l’argent et le confort que cela lui apporte. Personnellement, il est seul, il n’a pas encore trouvé l’âme soeur. Est-il trop exigeant avec les autres ou plutôt avec lui-même ? Qui est-il vraiment ? Que veut-il ? Le roman va tenter d’y répondre. Ne se joue-t-on pas de lui professionnellement et émotionnellement ? Pourquoi a-t-il pris cette décision ? Pourquoi se cherche-t-il des excuses ? N’est-ce pas le propre de l’homme ? Toutefois, pour avancer professionnellement et personnellement, il vaut mieux être honnête avec soi-même, avant de l’être avec les autres. Dans le sud des Etats-Unis, la mort est omniprésente à cause de l’esclavage. Mais les villes ont rompu avec l’Histoire de leur région. Je remercie Netgalley et les Editions Belfond pour cette sélection.Avis L’Aventuriste de J. Bradford Hipps Henry est convoqué chez son patron et ami Keith, nommé directeur général il y a peu. Ce dernier lui annonce une promotion. Il a 34 ans. Il aime l’argent et le confort apporté par celui-ci. Il vit seul. Résumé L’Aventuriste de J. Bradford Hipps Les deux mots qui me viennent à l’esprit avec L’Aventuriste, sont Aventurier et Futuriste. Mais va-t-on trouver dans ce roman un homme aventurier et futuriste , Peut-être le second car le Henry est un ingénieur qui conçoit des logiciels de sécurité pour les entreprises. Donc, il imagine, conçoit des codes. Comment rendre un roman pas si banal que ça avec un homme banal dans une entreprise banale, dans une vie banale, dans une société banale ? Mais est-ce qu’une vie est banale quand c’est la nôtre ? Peut-être aux yeux des autres. Mais à nos propres yeux ? C’est grâce à l’auteur et à ce premier roman somme toute réussi. On pourrait s’ennuyer. Cela arrive un petit peu tout de même. Mais on suit la vie de cet homme, de ses collègues et de sa famille. L’auteur nous détaille avec force détails l’entreprise américaine, comment vivent les employés, les stratégies de management et surtout la...
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  • croc1706 14/01/2018
    Merci à Netgalley et aux éditions Belfond pour cette lecture. Dans l'Aventuriste, on plonge dans un monde à la fois connu et mystérieux . Celui de l'entreprise !!! Henry est un commercial typique qui ne souhaite que remporter des contrats et vendre les logiciels qu'il a crée. Mais quand les requins s'ont de sortie et, que son histoire familiale se complique, Henry s'interroge. On sent dans ce roman, la connaissance de l'entreprise qui anime l'auteur. Celui-ci , inspirateur, d'Henry, livre pour son premier roman, un récit sociétal intense. Il nous montre l'envers du décor de cette entreprise inhumaine, qui broie du salarié avec pour seul but, le profit. Ce milieu professionnel qui prend toute la place, au détriment de la vie privée , qui empêche la vie de famille, qui isole. Un tourbillon qui emporte tout sur son passage. Les personnages nous rappellent certains collègues, il y a ceux que l'on apprécie, ceux que l'on envie et ceux qui font de la peine ... Ce récit pointu ,certainement un peu vécu par tous, entraîne le lecteur à s'interroger sur la place du travail dans sa vie, ses conséquences et son omniprésence. Alors ferez-vous le même choix qu'Henry ?
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  • News
    Belfond

    L'Aventuriste de J. Bradford Hipps dans le New York Times !

    Le brillant et généreux premier roman de J. Bradford Hipps, L’Aventuriste, se déroule dans un nouveau Sud aux étincelantes tours de bureau, aux mille et une zones résidentielles, et aux innombrables centres de conférence. C’est là que les plus grandes villes du Sud, écrit Hipps, « ont rompu avec l’histoire de leur région. »

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