« Mêlant fiction et réalité, Jordi Soler retrace avec virtuosité l'épopée familiale entre ombre et lumière. »
Delphine Peras, Lire
« Un livre magnifiquement écrit. Des personnages profonds et énigmatiques... A lire. »
Evelyne Letribot, Ouest France
« Une oeuvre sauvage, un sombre conte de fées. Virtuose et bouleversant, Soler entremêle les genres littéraires, glissant de l'épopée au thriller, de l'aventure intime à la magie. »
Christine Ferniot, Télérama
« Jordi Soler est un narrateur habile, un admirateur de Joyce, une identité plurielle, entre le Mexique et la Catalogne. Ce qu'il fait du roman familial est passionnant et troublant. »
Isabelle Rüf, Le Temps
« Une fable exaltante, charnue, au style fambloyant, débordante de cris et de fureur, sur le mensonge, la culpabilité, les châtiments et, au bout du bout, peut-être, la compassion. »
Yves Viollier, La Vie
« Un conte documentaire sauvage et noir, impossible à lâcher. »
Marguerite Baux, Grazia
« Jordi Soler déroule la violence et l'absurdité de la guerre par une écriture quasi poétique, très peu ponctuée, qui fait penser à une sonate de Bach. [...] Comme une lente incantation, le roman est une descente en apnée dans l'enfer de la mémoire espagnole. »
Serge Raffy, Le Nouvel Observateur
À propos des Exilés de la mémoire :
« Jordi Soler relate avec subtilité et humour le destin de son grand-père espagnol, antifranquiste parti se perdre dans la jungle mexicaine après la défaite républicaine de 1939. Un récit subtil, attentif, dramatique et drôle de la trajectoire de son aïeul. Judicieusement, Jordi Soler rebat les cartes de cet exil, fait des sauts de puce et des entrechats de géant entre les lieux, les époques, les destins. Les souvenirs de guerre d'Arcadi, le vétéran, dialoguent avec ceux de l'enfant mexicain que Jordi Soler lui-même fut à ses côtés, immergé jusqu'à ses 12 ans dans cette bizarroïde colonie catalane fondée par son aïeul au Mexique. »
Fabienne Dumontet, Le Monde des Livres
À propos de La Dernière Heure du dernier jour :
« Jordi Soler a une manière bien à lui d'enchanter la réalité et sa mémoire familiale, qui relève du sortilège, du magique et du saugrenu. On pense à Garcia Marquez et à ses Cent Ans de solitude, comme si l'exubérance des forêts sud-américaines devait inspirer un style foisonnant, une narration tourbillonnante. Reste que ce que Jordi Soler nous raconte lui appartient en propre. Et, en nous le confiant, il nous étourdit et, mieux encore, il nous séduit. »
Frédéric Vitoux, Le Nouvel Observateur
« Jordi Soler s'avère encore une fois un conteur hors pair, puisant dans un matériau autobiographique la plus éblouissante inspiration romanesque. »
Delphine Peras, Lire
« Puissant et lancinant, le roman de Jordi Soler donne envie de se perdre à son tour dans la jungle mexicaine. »
Alexandre Fillon, Livres Hebdo