« Un texte paradoxal en révolution sur lui-même, oraison funèbre de fortune. Une agonie littéraire qui résonne avec une vitalité stupéfiante. »
Judith Steiner - Les Inrockuptibles
« Un roman sombre en forme d'anathème. Plus que corrosif, remarquable. »
Myriam Perfetti - Marianne
« Avec un style magnifique de maîtrise et d'invention, [Fernando Vallejo] emporte le lecteur dans un torrent verbal joyeusement tragique et dramatiquement drôle, où l'on rit beaucoup, mais la gorge serrée. Une charge virulente qui permet à Vallejo de gagner son pari : "J'écris pour inquiéter". »
Christine Gomariz - Paris Match
« Un livre capital, un ton et un langage nouveaux, pleins de force, d'idées à contre-courant, un réquisitoire contre l'ordre fondamental du monde qui dissimule les pièges de l'imposture. L'oeuvre de Vallejo ne ressemble en rien à ce qu'on peut écrire actuellement en espagnol. »
Miguel Sanchez-Ostiz - ABC cultural
« Une écriture caustique, aberrante et démesurée qui fait de Vallejo un auteur exceptionnel. Sa prose sonore et hypnotique évoque la mélodie d'un boléro sensuel ou d'un opéra sublime. »
Gonzalo Aguilar - Clarin.com
« Réminiscences de Baroja, Onetti, Lowry, Cioran ? Vallejo est un auteur sans références. Du seul fait qu'il s'agit de l'invention d'un langage, d'une topographie étrange et littéraire qui se prolonge en chaque lecteur, l'oeuvre narrative de Fernando Vallejo constitue un des chapitres les plus marquants de l'actuelle littérature en espagnol. »
Fernando R.Lafuente - Blanco y negro cultural