"Une réussite."
Hubert Prolongeau / Marianne
"La Tanche nous propulse dans les coins de notre humanité dont nous préférerions nous tenir éloignés. Inge Schilperoord le fait avec un talent sombre, dérangeant et envoûtant.
Jean-Claude Vantroyen / Le Soir
"Une énorme claque. Vous vous en souviendrez toute votre vie."
Armelle Camelin / Néon
"Noir et troublant."
Voici
"Un roman puissant, saisissant et déstabilisant."
Serengo
"Une lecture sombre et captivante, parfois dérangeante, qui ouvre un débat sur un sujet tabou trop souvent occulté."
Maria Pietrangeli / Femmes Magazine
« Merde alors, quel livre incroyable ! Si je ne devais choisir qu’un mot : incontournable. »
Renate Dorrestein, auteur de Un cur de pierre
« Un roman aussi brillant que nécessaire. »
De Morgen
« Il faut remonter à cinq, voire dix ans pour trouver un premier roman de ce niveau. »
De Volksrant
« La Tanche nous entraîne dans des recoins dont nous préfèrerions nous tenir éloignés mais à quoi cela nous avancerait-il ? Aussi sombre qu’impressionnant. »
De Volskrant
« On ne peut pas à proprement parler de page-turner, cela va bien au-delà, mais ce roman est magnétique. Pourtant, ce serait oublier au passage la toute première réussite d’Inge Schilperoord, son écriture : chaque phrase est en place, aucun mot n’est superflu. »
NRC Handelsblad
« Il y a bien longtemps que je n’avais lu une histoire aussi saisissante. Quelque part, La Tanche me fait penser à Dostoïevski ou à Céline. »
Frans Stüger, critique littéraire
~La Tanche est un récit qui m’intéressait, mais dont j’appréhendais également la lecture. Ce n’est jamais facile d’écrire un roman traitant de pédophilie, sans tomber dans le gore ou le malsain inutile.
~. C’est un sujet rebutant, il est difficile d’apprécier Jonathan, mais on ne peut qu’être pris de pitié en le voyant subir les émotions et les pulsions qui le submerge. Malgré tout, et c’est très fort, Inge Schilperoord parvient à nous faire comprendre Jonathan, et même à le comprendre.
La Tanche est donc un roman dur, avec un sujet difficile, qui ne peut que soulever des émotions. Qu’elles soient bonnes ou mauvaises !
Léa Delapierre / Librairie Ithaque 75014 Paris
« C'est le réalisme sobre du projet qui fait son mérite, même l'ensemble est parfois poétisé, couleurs ocres, à travers la canicule et le sable. Inge Schilperoord n'accuse ni n'excuse. Elle raconte au plus près sans exagérer l'effet de loupe. Elle ne se fait pas entomologiste ni même vraiment psychologue, elle raconte des journées terrestres. En haut, le soleil du nord, en bas les pulsions.»
Nicolas Dufour / Le Temps
« La tanche observe, dissèque; sans le juger, Inge Schilperoord, avec les mots et les émotions d'une innocence dévoyée, laisse évoluer son personnage, s'approchant au plus près de sa réalité à lui, déformée par cet élan irrépressible. Instructive et dérangeante, La tanche est innocente et malsaine à la fois; une lecture qui glace et donne envie de protéger. Qui interroge aussi sur ce que la société peut et doit faire de ces Jonathan et de leurs pulsions de mort. »
Blandine Hutin-Mercier / La Montagne
« Voici une primoromancière qui n'a pas froid aux yeux. Inge Schilperoord s'attache à ausculter de l'intérieur les méandres de de ce psychisme malade. Pas pour l'excuser, bien sûr, mais pour explorer le "combat qui s'y joue entre pulsions et raison". Et comment on y résiste - ou pas.»
Florence Noiville / Le Monde
« C'est dérangeant et court, avec l'angoisse qui grimpe sur fond d'extrême solitude. »
Michèle Roger / FLAIR (Belgique)
« La Tanche est un grand roman implacable et oppressant sur un sujet des plus tabous. De sa lecture et de cette descente aux enfers, on en sort bousculé - et pas seulement parce que Inge Schilperoord a tout d'une grande auteure ... »
Serge Bressan / Le Quotidien
« La tanche nous empêche de voir le pédophile comme ce mal absolu, inhumain. Jonathan se bat dans son univers avec son humanité. Ce n'est pas lui qui est mauvais, ce sont ses actes et la romancière en parle avec pudeur et un grand sens du suspense.»
Guy Duplat / La Libre Belgique