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Quand on s'y attend le moins
Renaud Temperini (traduit par)
Date de parution : 16/02/2017
Éditeurs :
Belfond

Quand on s'y attend le moins

Renaud Temperini (traduit par)
Date de parution : 16/02/2017
De l’amour, du suspense et le doux parfum des Pouilles ! Avec Penelope, authentique Bridget Jones italienne, laissez-vous transporter dans une comédie déjantée, pétillante et  pleine de charme.   
Penelope a trente-six ans, quelques kilos en trop, une vie amoureuse désespérément inexistante, un job pas très épanouissant d’attachée de presse pour Pimpax – LA multinationale de la serviette hygiénique... Penelope a trente-six ans, quelques kilos en trop, une vie amoureuse désespérément inexistante, un job pas très épanouissant d’attachée de presse pour Pimpax – LA multinationale de la serviette hygiénique –, et elle est de surcroît affligée d’une maladresse quasi légendaire.
Comment se sortir de l’impasse ? En s’en remettant au...
Penelope a trente-six ans, quelques kilos en trop, une vie amoureuse désespérément inexistante, un job pas très épanouissant d’attachée de presse pour Pimpax – LA multinationale de la serviette hygiénique –, et elle est de surcroît affligée d’une maladresse quasi légendaire.
Comment se sortir de l’impasse ? En s’en remettant au dicton de sa grand-mère : « C’est quand on s’y attend le moins que l’amour vous tombe dessus. » Ou, en l’occurrence, qu’on le percute à vélo. Car le jour où elle renverse le ténébreux Alberto, lui brisant la jambe au passage, Penelope en est certaine : ils sont faits l’un pour l’autre.
Et lorsqu’elle le recroise dans les locaux de Pimpax, le doute n’est plus permis. Mais quelque chose cloche : le bellâtre se fait appeler Riccardo et semble avoir tout oublié de sa tendre assaillante. Pourquoi tant de mystères ?

N’écoutant que son courage, notre Penelope se lance dans une folle enquête à la poursuite du prince charmant fuyant et, pourquoi pas, du grand amour…
 
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EAN : 9782714471420
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 336
Format : 140 x 205 mm
EAN : 9782714471420
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 336
Format : 140 x 205 mm

Ils en parlent

<< Des dialogues qui pétillent, des situations rocambolesques, la comédie est réussie, Pénélope a gagné son pari. Elle a trouvé un bon boulot, elle est une héroïne. À suivre ? >>
Bernard Babkine / Marie France

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • domi_troizarsouilles 21/05/2021
    J’avais choisi ce livre car, pour au moins deux challenges liés au printemps, il me fallait trouver une couverture rose… Après une brève recherche, celui-ci avait attiré mon regard, avec sa couverture sympa et originale à défaut d’être vraiment belle, raison pour laquelle je l’ai choisi plutôt que d’autres. Mais en le refermant, je ne sais toujours pas très bien jusqu’à quel point je suis atterrée… Oh, ce livre n’est pas mauvais-mauvais – ou, pour le dire autrement : j’ai lu bien pire, certes dans un autre genre, assez récemment ! Mais ce qui est plus qu’agaçant, c’est que ce livre est un concentré de trop nombreuses références à la chick lit et/ou à ces comédies sentimentales et autres acteurs considérés comme « beaux », dont un certain nombre d’Italiens qui évoqueront peut-être quelque chose pour les lectrices de la VO, mais qui pour moi lectrice francophone, tombent complètement à plat ! Déjà, à la base, je ne regarde pas trop ce genre de films (je ne dis pas ça pour les dénigrer ! c’est juste que ce n’est pas ce que j’aime…), mais en plus ces séries italiennes ne sont pas parvenues jusque chez nous, ou alors de façon confidentielle ! Or, le traducteur n’a fait aucun effort d’explication. Je ne lui demande d’aller coller des photos des différents acteurs cités… mais n’était-ce donc pas possible de mentionner en note du traducteur que le fameux Comte Ristori (personnage qui est évoqué le plus souvent parmi tous ces noms inconnus), par exemple, est issu de la série télévisée "Elisa" … dont tout le monde a entendu parler n’est-ce pas ? (j’ai dû faire une recherche… et en mettant jute « Ristori » comme mot-clé, je suis tombé sur un homme politique français, mouais…) Je sais que c’est peut-être un choix éditorial, indépendant du traducteur… il n’en reste pas moins que c’est vraiment dommage ! La traduction, ce n’est pas juste retaper des phrases dans une autre langue, c’est aussi partager la culture de « l’autre » avec ceux à qui on s’adresse qui parlent la même langue que nous. Et ici, cet aspect de partage avec les autres francophones est un flop total. À décharge du traducteur, cependant : s’il avait dû mettre des « notes du traducteur » explicatives, il y en aurait eu une dizaine par page ! J’exagère à peine… En effet, indépendamment de ma méconnaissance de ce type de littérature ou de films, les allusions à ces acteurs / personnages sont beaucoup, beaucoup trop nombreuses – à croire que l’autrice avait besoin de se rassurer en mettant des noms prétendument connus un peu partout dans son livre, au lieu de laisser parler son imagination et celle de son lectorat, et au final c’est incroyablement lassant ! Outre cette abondance de références de peu d’intérêt, ce livre est truffé de similitudes avec d’autres livres ou films du genre, et le plus évident est incontestablement "Bridget Jones" (livre que j’avais adoré, soit dit en passant, et le film plutôt pas mal aussi), et de ce stéréotype de la femme qui ne peut exister pleinement que si elle rencontre l’homme de sa vie – une croyance fortement implantée dans l’esprit de Penelope, l’héroïne, depuis l’enfance et accentuée par ce qu’on perçoit comme une certaine mentalité ancestrale de son Italie du Sud, elle qui est originaire de Bari dans les Pouilles. Les similitudes sont donc nombreuses : Penelope comme Bridget est décalée, sentimentale, maladroite, affublée d’amis improbables dont l’inévitable homo sympathique très caricatural, avec un boulot qui n’est pas à la hauteur de son talent, etc. Mais là où Bridget incarnait une certaine nouveauté, avec une légèreté liée à cet humour britannique teinté de dérision, on a ici une répétition juste assez différente pour ne pas tomber dans le plagiat (et encore ! mais bon, je ne suis pas juriste après tout…), et un humour qui semble constamment forcé, surjoué ; l’autrice en rajoute des tonnes pour essayer de faire rire, mais pour moi en tout cas, c’est loupé ! Parmi ces tentatives ratées d’humour, il y a par exemple une critique pseudo-humoristique constante sur la façon de vivre à Milan, qui serait très « rigide », du moins en comparaison avec ce que Penelope aurait connu à Bari. C’est peut-être rigolo une fois ou deux, même pour qui ne connaît pas Milan, mais à nouveau : ça se répète tout au long du livre, on finit par se demander si l’autrice aime vraiment cette ville qu’elle a pourtant mise en scène ! Pour moi qui n’y connais rien, j’imagine tellement aisément que les Milanais.e.s qui auraient lu ce livre, doivent ressentir la même chose que moi quand je râle sur un livre truffé de « blagues belges »… Inutile, cliché et lassant ! La seule chose qui sauve le livre, finalement, et qui s’écarte quelque peu de tous les stéréotypes précités, c’est que l’autrice a mêlé à tout cela une vague histoire aux allures d’enquête. On est très loin d’un polar digne de ce nom, mais on a quand même une intrigue qui a de vagues réminiscences de cosy mystery. Dans ces moments-là, on peut profiter pleinement d’une plume qui n’est généralement ni agréable ni fluide, alors qu’elle pourrait si facilement l’être ! mais empâtée dans tous les défauts cités plus haut. Quoi qu’il en soit, on ne peut lui retirer le fait qu’elle est alors enlevée… et on a envie de savoir le fin mot de cette histoire ! A vrai dire, on devine assez rapidement ce qui se trame, mais on a tout à coup besoin de le lire noir sur blanc. Peut-être parce que c’est dans cette intrigue seule que l’autrice écrit avec naturel, sans forcer cet humour qui apparaît tout à coup alors qu’on ne l’attend plus ! [masquer]Je pense notamment au moment où le trafic de cocaïne, qui se passait par le biais de serviettes hygiéniques parfumées à la lavande, est révélé : là c’est léger, on trouve cet humour « l’air de rien », et c’est probablement le seul passage qui m’a fait vraiment sourire ![/masquer] Ainsi donc, je n’irais pas jusqu’à dire que j’ai passé un mauvais moment, mais si j’étais professeure d’écriture créative (par exemple), mon commentaire à côté de la note aurait indubitablement été « peut mieux faire », et en attendant, je ne le recommande pas.J’avais choisi ce livre car, pour au moins deux challenges liés au printemps, il me fallait trouver une couverture rose… Après une brève recherche, celui-ci avait attiré mon regard, avec sa couverture sympa et originale à défaut d’être vraiment belle, raison pour laquelle je l’ai choisi plutôt que d’autres. Mais en le refermant, je ne sais toujours pas très bien jusqu’à quel point je suis atterrée… Oh, ce livre n’est pas mauvais-mauvais – ou, pour le dire autrement : j’ai lu bien pire, certes dans un autre genre, assez récemment ! Mais ce qui est plus qu’agaçant, c’est que ce livre est un concentré de trop nombreuses références à la chick lit et/ou à ces comédies sentimentales et autres acteurs considérés comme « beaux », dont un certain nombre d’Italiens qui évoqueront peut-être quelque chose pour les lectrices de la VO, mais qui pour moi lectrice francophone, tombent complètement à plat ! Déjà, à la base, je ne regarde pas trop ce genre de films (je ne dis pas ça pour les dénigrer ! c’est juste que ce n’est pas ce que j’aime…), mais en plus ces séries italiennes ne sont pas parvenues jusque chez nous, ou alors de façon...
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  • PLYT 13/03/2021
    Lecture très sympa et fluide. L'intrigue est prenante et on ne s'ennuie pas un instant car le ton et le style de l'auteur est dynamique. Une romance à sens unique mais pas que...J'ai beaucoup aimé et je conseille ce livre où on suis les tribulations d'une femme ni canon ni ultra riche. Ça change et c'est une vrai bouffée d'oxygène.
  • Lizouzou 05/07/2019
    Penelope, trente six ans, rêve de devenir journaliste mais se contente de bosser comme attachée de presse pour Pimpax, une entreprise de serviette hygiénique. Un soir, alors qu'elle est à vélo, elle renverse Alberto, lui brisant la jambe. C'est le coup de foudre pour elle. Le lendemain, au travail, elle le croise à nouveau, mais celui ci se fait appeler Riccardo et ne semble pas la reconnaître. Pénélope décide alors de mener l'enquête. J'avais entendu du bien de ce roman donc j'étais contente de le trouver d'occasion dans une foire aux livres ! Le personnage de Pénélope m'a tout de suite fait penser à celui de Bridget Jones, mais version italienne. Elle a ce côté maladroite, gaffeuse et connait des galères en amour. Elle a également pas mal d'humour et peut compter sur ses amis au quotidien. J'avoue que le suspense s'installe concernant le personnage d'Alberto/Riccardo. Sont-ils une seule et même personne ? Si oui, pourquoi a-t-il changé d'identité ? Pénélope va-t-elle découvrir le fin mot de l'histoire ? On se pose trente six milles questions et c'est ce qui nous tient en haleine jusqu'à la fin. Bon, il y a quand même un "mais". Et oui, j'avoue que l'explication finale est un peu trop "grosse" à mon goût, mais si on accepte cela, on passe au final, un très bon moment ! Les amateurs d'happy end apprécieront ! Bref, un chouette roman détente grâce au charme du personnage de Pénélope, cette Bridget Jones à l'italienne !Penelope, trente six ans, rêve de devenir journaliste mais se contente de bosser comme attachée de presse pour Pimpax, une entreprise de serviette hygiénique. Un soir, alors qu'elle est à vélo, elle renverse Alberto, lui brisant la jambe. C'est le coup de foudre pour elle. Le lendemain, au travail, elle le croise à nouveau, mais celui ci se fait appeler Riccardo et ne semble pas la reconnaître. Pénélope décide alors de mener l'enquête. J'avais entendu du bien de ce roman donc j'étais contente de le trouver d'occasion dans une foire aux livres ! Le personnage de Pénélope m'a tout de suite fait penser à celui de Bridget Jones, mais version italienne. Elle a ce côté maladroite, gaffeuse et connait des galères en amour. Elle a également pas mal d'humour et peut compter sur ses amis au quotidien. J'avoue que le suspense s'installe concernant le personnage d'Alberto/Riccardo. Sont-ils une seule et même personne ? Si oui, pourquoi a-t-il changé d'identité ? Pénélope va-t-elle découvrir le fin mot de l'histoire ? On se pose trente six milles questions et c'est ce qui nous tient en haleine jusqu'à la fin. Bon, il y a quand même un "mais". Et oui, j'avoue que l'explication finale est un peu...
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  • LaureLiseuseHyperfertile 25/02/2019
    Une couverture rose couverte de baisers : le ton est donné, cette lecture sera légère. En attendant de découvrir dans les prochains mois un nouveau roman de l’auteure aux éditions Le Cercle Belfond, j’ai déjà découvert la plume de Chiara Moscardelli à travers son premier roman publié en France. Avec Penelope, que l’on entendra tout le long du roman plus communément nommée par son nom de famille, Stregatti, on part pour une vraie comédie, tout à fait déjantée. Tous les détails du roman sont un brin foldingue : personnages, lieux, anecdotes, tout contribue à cet esprit fou. Stregatti se rêvait journaliste, mariée avec plusieurs enfants et voyageant autant que possible. Au lieu de ça, elle travaille chez Pimpax une société de serviettes hygiéniques, est célibataire et n’attire que des hommes peu fiables. Jusqu’au soir où elle renverse un piéton : il est l’homme de ses rêves. Oui sauf que, entre eux ça commence bien mal et en plus, sitôt celui-ci sorti de l’hôpital, elle n’a aucun moyen de le recontacter. Ca part mal pour le grand amour ! Le destin s’en mêle le jour où un homme arrive pour faire le bilan social de Pimpax. Et cet homme n’est autre que le mystérieux piéton écrasé par Stregatti. Enfin c’est ce qu’elle croit car il porte un autre nom et affirme ne pas la connaitre… Penelope est déterminée à percer le mystère. Nommée comme sa secrétaire, elle va devoir travailler avec lui au quotidien et vivra à ses côtés une succession de péripéties de plus en plus étranges. Le grand amour semble toujours bien loin ! Ce roman est une vraie bouffée d’oxygène avec une héroïne gaffeuse, qui est un peu la bonne copine qu’on aimerait tous avoir et qui vit des situations ubuesques. J’ai parfois eu un peu de mal d’ailleurs à suivre les péripéties ! Ne vous attendez pas à quelque chose d’hyper crédible, ce n’est clairement pas le but du roman. Ici, plus c’est gros, plus on s’amuse. Et au final, ça marche très bien même si on reste loin de la romance tant cela n’arrive qu’à la toute fin du roman.Une couverture rose couverte de baisers : le ton est donné, cette lecture sera légère. En attendant de découvrir dans les prochains mois un nouveau roman de l’auteure aux éditions Le Cercle Belfond, j’ai déjà découvert la plume de Chiara Moscardelli à travers son premier roman publié en France. Avec Penelope, que l’on entendra tout le long du roman plus communément nommée par son nom de famille, Stregatti, on part pour une vraie comédie, tout à fait déjantée. Tous les détails du roman sont un brin foldingue : personnages, lieux, anecdotes, tout contribue à cet esprit fou. Stregatti se rêvait journaliste, mariée avec plusieurs enfants et voyageant autant que possible. Au lieu de ça, elle travaille chez Pimpax une société de serviettes hygiéniques, est célibataire et n’attire que des hommes peu fiables. Jusqu’au soir où elle renverse un piéton : il est l’homme de ses rêves. Oui sauf que, entre eux ça commence bien mal et en plus, sitôt celui-ci sorti de l’hôpital, elle n’a aucun moyen de le recontacter. Ca part mal pour le grand amour ! Le destin s’en mêle le jour où un homme arrive pour faire le bilan social de Pimpax. Et cet homme n’est autre que...
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  • LFolavril 12/02/2018
    Penelope approche dangereusement de la quarantaine et sa vie amoureuse est toujours aussi désertique. Un peu folle, ne se fiant qu’aux conseils de sa grand-mère Berta qui ne jure que par ses cartes de tarot, elle est également extrêmement maladroite – avec quelques rondeurs en trop et une mémoire exceptionnelle qui ne lui sert à rien. Après des études de lettres et de journalisme, Penelope se retrouve à travailler chez Pimpax, une entreprise de serviettes hygiéniques. De temps a autres, elle est également rédactrice de tests pour un magazine féminin. Un soir, alors qu’elle est légèrement éméchée, Penelope renverse à vélo un homme au doux nom d’Alberto Ristori, et lui brise la jambe. Elle est convaincue que c’est l’autre moitié de sa pomme, l’homme de sa vie. Mais quand elle le voit débarquer à son travail, chargé de sauver l’entreprise de la faillite, elle croit défaillir : il se fait appeler Ricardo Galanti et semble ne pas la reconnaître… ou fait semblant ? Le mystère s’installe et Penelope se met à enquêter sur cet homme énigmatique duquel elle est malheureusement tombée amoureuse… En débutant cette lecture, j’avais peur de retrouver les clichés chers à ce genre littéraire… Je ne suis en effet absolument pas friande de cette littérature « romance » – et si je n’avais pas trouvé ce roman grâce à la chasse aux trésors de la St Valentin organisée par Belfond, je ne l’aurais certainement jamais lu. Et ça aurait été dommage car ce roman est un joli plaisir de lecture, sans prise de tête. J’ai eu le sourire aux lèvres du début à la fin. Grâce à son humour et à son caractère farfelue, Penelope est une héroïne drôle et attachante, qui m’a fait penser à la Joséphine de Pénélope Bagieu – je me suis surprise à rire et sourire au fil des pages. Un roman italien parsemé de références littéraires et cinématographiques, bourré d’humour et d’énergie, qui se déroule – et se dévore – à un rythme effréné.Penelope approche dangereusement de la quarantaine et sa vie amoureuse est toujours aussi désertique. Un peu folle, ne se fiant qu’aux conseils de sa grand-mère Berta qui ne jure que par ses cartes de tarot, elle est également extrêmement maladroite – avec quelques rondeurs en trop et une mémoire exceptionnelle qui ne lui sert à rien. Après des études de lettres et de journalisme, Penelope se retrouve à travailler chez Pimpax, une entreprise de serviettes hygiéniques. De temps a autres, elle est également rédactrice de tests pour un magazine féminin. Un soir, alors qu’elle est légèrement éméchée, Penelope renverse à vélo un homme au doux nom d’Alberto Ristori, et lui brise la jambe. Elle est convaincue que c’est l’autre moitié de sa pomme, l’homme de sa vie. Mais quand elle le voit débarquer à son travail, chargé de sauver l’entreprise de la faillite, elle croit défaillir : il se fait appeler Ricardo Galanti et semble ne pas la reconnaître… ou fait semblant ? Le mystère s’installe et Penelope se met à enquêter sur cet homme énigmatique duquel elle est malheureusement tombée amoureuse… En débutant cette lecture, j’avais peur de retrouver les clichés chers à ce genre littéraire… Je ne suis en effet...
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