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Villa avec piscine
Isabelle Rosselin (traduit par)
Date de parution : 16/05/2013
Éditeurs :
Belfond

Villa avec piscine

Isabelle Rosselin (traduit par)
Date de parution : 16/05/2013

Après l’énorme succès international du Dîner, le grand retour d’Herman Koch pour un roman toujours aussi noir, grinçant, dérangeant : peut-on se faire justice soi-même, a fortiori quand on est médecin ?

Après le triomphe international du Dîner, Herman Koch nous revient avec un roman toujours aussi noir, grinçant et dérangeant, qui tendrait à démontrer que point n’est besoin d’ennemis quand on...

Après le triomphe international du Dîner, Herman Koch nous revient avec un roman toujours aussi noir, grinçant et dérangeant, qui tendrait à démontrer que point n’est besoin d’ennemis quand on a un bon médecin.

Grosse tuile en vue pour le Dr Marc Schlosser. Après le décès d’un de ses patients,...

Après le triomphe international du Dîner, Herman Koch nous revient avec un roman toujours aussi noir, grinçant et dérangeant, qui tendrait à démontrer que point n’est besoin d’ennemis quand on a un bon médecin.

Grosse tuile en vue pour le Dr Marc Schlosser. Après le décès d’un de ses patients, le Conseil de l’Ordre l’a convoqué pour discuter d’une possible erreur médicale.
Ennuyeux, certes, mais pas dramatique : les membres du Conseil, il les croise tous les week-ends sur les terrains de golf. Que risque-t-il, une tape sur la main ? Au pire, une petite suspension ?

Sauf que le patient en question n’est autre que Ralph Meier, célébrissime acteur, idole nationale et accessoirement ami de la famille ; et que sa veuve a des doutes et compte bien le faire savoir… Pour elle, l’affaire est suspecte : Ralph est tombé malade juste après des vacances avec les Schlosser.
Qui dit vrai ? Marc a-t-il raté son diagnostic ? Aurait-il « aidé » la maladie de Ralph ?

Que s’est-il passé cet été-là, dans la villa avec piscine ?

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EAN : 9782714452382
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 380
Format : 140 x 225 mm
EAN : 9782714452382
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 380
Format : 140 x 225 mm

Ils en parlent

"Un suspense grinçant"

Jean-Claude Perrier / Livres Hebdo

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Eifer86 22/07/2023
    Découverte de l'auteur et de son ton très très particulier. Ce livre avait un gros potentiel coup de cœur chez moi, malheureusement trop de longueurs dans les événements m'ont un peu perdue. C'était parfois glauque et cinglant mais j'ai apprécié cette écriture incisive et ces pensées de médecin très déplacées ! Bonne lecture malgré tout
  • gerardmuller 05/07/2023
    Villa avec piscine/Herman Koch Après le décès d’un patient, ami de la famille, l’acteur Ralph Meier, le docteur Marc Schlosser est mis en cause et convoqué par le conseil de l’ordre. Meier est tombé malade après avoir consulté, juste au retour de vacances passées ensemble avec les Schlosser. Y a-t-il eu par la suite une erreur médicale ou une négligence ? Ou autre chose d’inavouable ? Que s’est-il passé auparavant dans la villa du bord de mer avec piscine ? Voilà un livre qui ravira les amateurs de suspense : Herman Koch sait savamment distiller le suspense tout au long de chacune des pages de ce récit haletant. J’ai été tenu en haleine de la première à la dernière ligne de ce roman parfaitement construit. Mais un livre dérangeant dont émane une vision assez noire de l’âme humaine. « Les veuves deviennent âgées. Très âgées. Souvent elles s’épanouissent le temps d’un instant à la mort de leur mari. » C’est avec humour, un humour très noir, et avec cynisme que le Dr Schlosser raconte son histoire incroyable. Ses réflexions sur sa conception de la médecine généraliste ne laissent pas d’être drôles et iconoclastes assurément. « Les patients confondent le temps et l’attention. Ils pensent que je leur accorde plus d’attention que d’autres médecins. Mais je leur accorde tout simplement plus de temps ; ce que je dois savoir, il me faut une minute pour l’apprendre. Les dix-neuf autres minutes, je les remplis avec de l’attention. Ou l’illusion d’une attention… Les fonctions d’un médecin généraliste sont simples à décrire. Il n’a pas à guérir les gens, il n’a qu’à s’assurer qu’ils ne se rendent pas en masse chez les spécialistes et dans les hôpitaux… » C’est quand même étonnant ! Durant tout le récit, Marc s’embarque dans des digressions multiples, intéressantes, qui suivent sa pensée vagabonde notamment au sujet de l’aspect biologique de la survie de l’espèce humaine, les déviations sexuelles et le « traitement » qu’il suggère. Le style de H.K. est simple, facile, chirurgical, parfois avec une note de baroque. Un roman qui se dévore, avec des rebondissements incessants. « Parfois vous rembobinez votre vie, pour vérifier à quel moment elle aurait pu prendre une autre tournure. » Villa avec piscine/Herman Koch Après le décès d’un patient, ami de la famille, l’acteur Ralph Meier, le docteur Marc Schlosser est mis en cause et convoqué par le conseil de l’ordre. Meier est tombé malade après avoir consulté, juste au retour de vacances passées ensemble avec les Schlosser. Y a-t-il eu par la suite une erreur médicale ou une négligence ? Ou autre chose d’inavouable ? Que s’est-il passé auparavant dans la villa du bord de mer avec piscine ? Voilà un livre qui ravira les amateurs de suspense : Herman Koch sait savamment distiller le suspense tout au long de chacune des pages de ce récit haletant. J’ai été tenu en haleine de la première à la dernière ligne de ce roman parfaitement construit. Mais un livre dérangeant dont émane une vision assez noire de l’âme humaine. « Les veuves deviennent âgées. Très âgées. Souvent elles s’épanouissent le temps d’un instant à la mort de leur mari. » C’est avec humour, un humour très noir, et avec cynisme que le Dr Schlosser raconte son histoire incroyable. Ses réflexions sur sa conception de la médecine généraliste ne laissent pas d’être drôles et iconoclastes assurément. « Les patients confondent le temps et l’attention. Ils pensent que je...
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  • luis1952 22/11/2022
    Auteur que je ne connaissais pas encore. Un groupe d'amis passe ses vacances au bord de mer dans une jolie maison avec piscine. Le narrateur y est avec sa femme et ses deux filles de 11 ans et 13 ans, aussi jolie l'une que l'autre en bikini sur le plongeoir ou dévoilant leurs jolis corps de leurs orteils à leurs cheveux couchées sur des transats. Tout se passe bien, jusqu'au jour ou l'ainée s'est fait violer. Que s'est-il passé réelement, qui a osé ? Le père de la victime se vengera, c'est en fait le sujet du roman, qui m'a passioné.
  • VALENTYNE 30/06/2020
    Comme pour « le dîner », le ton de « Villa avec piscine » est ambigu. C’est ce qui fait l’intérêt de ce roman. Le narrateur, Marc Schlosser est médecin. D’emblée on sait qu’un des patients du médecin est mort et qu’il a une responsabilité dans cette mort : Marc Schlosser est convoqué devant l’ordre des médecins : erreur médicale ? Volonté de tuer Ralph son patient ? Suite à cette introduction où le narrateur semble tour à tour sympathique puis antipathique, Marc Schlosser nous raconte ce qui l’a mené à ce geste...en remontant un an en arrière... Herman Koch décortique les motivations du médecin mais aussi de Ralph Maier (la « victime » à moins que ce ne soit un « bourreau ») , les épouses des deux protagonistes principaux et leurs enfants respectifs (des ados que j’ai trouvé convaincants) Un livre dérangeant (très cynique) mais passionnant...
  • elodiekretz 18/04/2019
    Totalement conquise par le dîner, précédent livre de l'auteur, je me suis jetée avec délectation sur Villa avec piscine et j'en ressort avec un sentiment beaucoup plus mitigé. Les deux premiers tiers - ou les trois premiers quarts - du livre m'ont totalement captée. J'y ai retrouvé ce mélange d'extrême noirceur et de satire sociale au cordeau que j'ai tant aimé dans le dîner. J'y ai retrouvé aussi le talent absolu de l'auteur pour camper un personnage principal, un narrateur, qui nous inspire des sentiments ambigus - les personnages principaux détestables ne me gênent pas du tout. Mark est un généraliste bien sous tous rapports. Recherché par ses patients car il consacre 20 mn à chacun d'eux. Du coup, il a une liste d'attente longue comme le bras et ne peut accueillir une nouvelle personne que lorsque l'un de ses patients déménage ou décède (sic). Ça c'est côté scène, côté coulisses, il écoute chaque patient une à cinq minutes et laisse ensuite le temps s'écouler en pensant à totalement autre chose. Ses patients l'indiffèrent ou le dégoûtent, à l'instar de leur corps qu'il connaît sous toutes leurs (peu inspirantes) coutures. Cette matinée est particulière car le lendemain Mark est convoqué par le Conseil de l'Ordre pour s'expliquer sur une erreur médicale. L'un de ses patients, le célèbre acteur Ralph Meier, est mort suite à une erreur de diagnostic. Mark n'est pas vraiment inquiet car aux Pays-Bas, ce n'est pas comme aux États-Unis, il a fait ses études et joue au golf avec les membres du Conseil, il s'en sortira donc avec une courte suspension. L'air de rien, il nous révèle toutefois dès les premières pages que l'erreur n'en est pas une, elle cache un lourd secret... Les deux hommes étaient devenus amis et la famille de Mark a séjourné dans la Villa avec piscine de Ralph et de sa famille l'été précédent. Un drame est survenu et a déclenché cette apparente erreur de diagnostic. Le récit de la relation hypocrite des deux hommes derrière une convivialité de façade est un régal, avec une critique au cordeau des modes de vie de cette bourgeoise néerlandaise ostentatoire et pathétique. La montée de la tension à l'approche du drame, le récit de celui-ci et des jours qui ont suivi sont totalement abrutis. J'étais captée, estomaquée, avec l'envie irrésistible de connaître la suite. Cela s'est gâté pour moi dans la dernière partie du livre car je trouve qu'il manque beaucoup d'ingrédients au lecteur pour comprendre ce qui s'est réellement passé. Je suis une maniaque de "la fin qui explique et justifie tout". Et là, la fin est en dessous, trop elliptique pour moi. Surtout, le ressort psychologique du coup ne fonctionne plus trop et je n'ai pas compris les agissements de Marc. Le dîner m'avait bluffée de virtuosité et de maîtrise de bout en bout mais ici le soufflé est monté, monté, monté puis retombé. Dommage. Totalement conquise par le dîner, précédent livre de l'auteur, je me suis jetée avec délectation sur Villa avec piscine et j'en ressort avec un sentiment beaucoup plus mitigé. Les deux premiers tiers - ou les trois premiers quarts - du livre m'ont totalement captée. J'y ai retrouvé ce mélange d'extrême noirceur et de satire sociale au cordeau que j'ai tant aimé dans le dîner. J'y ai retrouvé aussi le talent absolu de l'auteur pour camper un personnage principal, un narrateur, qui nous inspire des sentiments ambigus - les personnages principaux détestables ne me gênent pas du tout. Mark est un généraliste bien sous tous rapports. Recherché par ses patients car il consacre 20 mn à chacun d'eux. Du coup, il a une liste d'attente longue comme le bras et ne peut accueillir une nouvelle personne que lorsque l'un de ses patients déménage ou décède (sic). Ça c'est côté scène, côté coulisses, il écoute chaque patient une à cinq minutes et laisse ensuite le temps s'écouler en pensant à totalement autre chose. Ses patients l'indiffèrent ou le dégoûtent, à l'instar de leur corps qu'il connaît sous toutes leurs (peu inspirantes) coutures. Cette matinée est particulière car le lendemain Mark est convoqué par...
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